Tiens ferme ta couronne - Yannick Haenal
J’ai eu envie de lire ce livre suite à la critique suivante :
Ce mois-ci je vous propose une belle découverte littéraire avec « Tiens ferme ta couronne », un roman atypique et foisonnant qui a reçu le prix Prix Médicis en 2017. On y suit un « looser », totalement en marge de la société, ayant écrit un scénario sur la vie de l’auteur de Moby Dick, qu’il souhaite faire adapter au cinéma. Débute alors, en seulement quelques jours, une succession de situations drôles, touchantes, invraisemblables mêlant un producteur, un joueur de poker, un dalmatien nommé Sabbat ou bien encore Isabelle Huppert. Je vous invite à vous laisser porter par l’écriture et la musicalité de Yannick Haenel et de relever le défi d’un roman original, beau et plein d’humour. Quel plaisir de lecture ! Et chose assez rare pour être soulignée, j’ai parfois lu des pages et chapitres entiers à voix haute, tellement c’était beau.
Et bien moi, soit ce n’est pas le bon moment pour le lire, soit j’ai loupé quelque chose, mais j’avoue avoir été déçue par rapport à la critique. Je ne connaissais pas l’auteur. J’ai lu un second livre, « Papillon noir » , autre style mais là encore, je n’ai rien compris !
Si quelqu’un connait et peut me donner son avis sur cet auteur, je trouverai intéressant d’en échanger.
L'absolu n'est qu'une illusion, une manière de se "monter le bourrichon".
Flaubert
Céder sur son désir est une manière de consentir, et le consentement n'est-il pas l'ennemi de l'art ?
[...], il y avait cette lumière dorée qui donne à la tragédie sa couleur de l'espérance.
Un combat, dit le général, se livre dans le cœur de chaque homme entre le rationnel et l'irrationnel, le bien et le mal, et le bien de triomphe pas, parfois le ténèbres l'emportent [...].
Longer à pas de loup la mince cloison qui me spare de moi-même.
"C'est maintenant qu'il faut reprendre sa vie".
[...], cette accélération était peut-être le présage d'une vie nouvelle, d'une vie enfin vécue, où je m'accorderais à ma propre vitesse, à ma propre lenteur, où plus rien de viendrait se mettre entre en travers de mes pensées [...].