Vincent qu'on assassine - Marianne Jaeglé
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Là où il y a une volonté, il y a un chemin.
Une plongée dans les méandres de Vincent Van Gogh avec une frénésie de peindre durant une période très tourmentée psychologiquement… Une production prolifique, à l’instinct…
Vincent Van Gogh sera aussi à la recherche d’amitiés avec d’autres peintres dont Paul Gauguin auprès de qui sa recherche de reconnaissance et d’échanges restera vaine…
Son art restera peu reconnu auprès de ses pères contemporains, ce qui le rendra reconnaissant vis à vis de son frère qui subviendra à ses besoins , aussi bien artistiques que de soins auprès d’institutions.
L’autrice nous mène sur le second partie pris quant à la fin de vie de Vincent Van Gogh, dont la blessure par balle garde certains mystères…
Très agréablement surprise par la plume et le style d’écriture de l’autrice qui a rendu cette lecture addictive, agréable et qui m’aura permise de découvrir une face cachée du peintre et avec à la fin une seule envie : peindre des tournesols !
Synopsis
« Tu es trop jeune pour le savoir, ajoute-t-il à voix basse : un peintre peint non seulement avec de la couleur mais aussi avec de l’abnégation, des renoncements à soi et le cœur brisé. » Auvers-sur-oise, juillet 1890. Vincent Van Gogh revient du champ où il est allé peindre, titubant, gravement blessé. Il n’a pas tenté de se suicider, comme on le croit d’ordinaire. On lui a tiré dessus. Qui est responsable de sa mort ? Comment la légende du suicide a-t-elle pu perdurer si longtemps ? Inspiré par les conclusions des historiens Steven Naifeh et Gregory White Smith, ce roman montre Van Gogh aux prises avec ceux qui l’entourent et ses démons intérieurs, et rend ainsi justice à un homme d’exception que son époque a condamné à mort.
